• peinture - Elizabeth Chathambaker 

     

     

    L'espace de la peinture ne laisse que peu de place au repos.

    Il n'y a ni bas ni haut.

    le tableau pourrait être  basculé dans l'autre sens

    on ne verrait que peu de différence.

     

    La circulation emprunte des bandes blanches

    comme une ville vue de l'espace,

    On y verrait un étrange labyrinthe

    mais la couleur n'est pas étanche

     

    L'unité se fait par les teintes

    ... leur écho de place en place

    Quelques repentirs les effacent

    mais  on n'en tiendra pas rigueur.

     

    Le langage de la couleur

    contenu dans une écriture originale,

    rythmée de  respirations verticales

    se déroule sans heurts.

     

    C'est un endroit où on cherche son chemin

    pour ceux qui s'approchent de la toile

    dans l'écriture abstraite d'un auteur 

    qui n'utilise          que des mots peints.

    « densité - un des portraits d'Erica Parsons - ( RC )Une halte au pied de la maison - peinture de Vallotton »
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